Hello, hello 👋 Ici Nora au clavier. Et aujourd’hui, j’avais envie de te parler d’un sujet qui me tient particulièrement à cœur : la confiance en soi.
Pourquoi ? Parce que c’est le nerf de la guerre. Et surtout parce qu’on en parle souvent de façon superficielle : “ose plus”, “sois toi-même”, “crois en toi”. Ok. Mais concrètement, comment on fait ? Et surtout, pourquoi est-ce que la confiance en soi est indissociable de la connaissance de soi ?
Mon enfance de nana avec 0 confiance en elle…
Quand j’étais gamine, j’étais tout sauf confiante. Je me souviens très bien : j’étais la seule petite fille métisse de ma classe. Mes cheveux bouclés n’avaient rien à voir avec les cheveux lisses de mes copines. Résultat : je passais mon temps à me comparer, à me dire que je n’étais pas “comme il fallait”. Côté physique,c’était pas mieux. Et côté notes ? Même combat. Mon obsession était d’être la meilleure, comme si mes résultats allaient prouver que je méritais ma place. Spoiler : ça ne m’a pas rendue plus confiante.
En vrai, j’étais l’archétype de la nana qui n’osait pas. Je mettais un masque en permanence. Je voulais être intégrée, coûte que coûte. Alors j’ai essayé d’être quelqu’un d’autre. Sociable, extravertie, “cool”. Mais au fond, ce n’était pas moi. La vraie moi c’est la Nora introvertie qui passe plus de temps à poser des questions sur l’univers et le sens de la vie qu’à kiffer sa vie entourée de pleins de monde. Et crois-moi, c’est épuisant de vivre dans un costume qui n’est pas ta taille.
Ce masque, je l’ai porté longtemps. Parce que je pensais que c’était la clé pour être acceptée. Sauf qu’en fait, ça a fait l’effet inverse. Plus je me forçais, plus je me sentais fausse. Plus je me sentais fausse, moins j’avais confiance. Cercle vicieux parfait.
Le jour où j’ai dit « STOP »
Le déclic, il est venu plus tard. En grandissant, j’ai commencé un vrai travail sur moi. J’ai appris à me poser les bonnes questions : qui je suis, vraiment ? Quelles sont mes forces, mes faiblesses, mes limites, mes peurs ? Au lieu de les cacher, j’ai commencé à les reconnaître. Et surtout, à les accepter. Parce que la vérité, c’est que tu ne peux pas construire de vraie confiance en toi si tu ne sais pas qui tu es.
Aujourd’hui, je suis convaincue d’une chose : la confiance en soi est corrélée à la connaissance de soi. Plus tu te connais, plus tu as confiance. Et plus tu as confiance, plus tu peux avancer, entreprendre, t’affirmer, vivre en accord avec toi. Alors oui, ça paraît évident dit comme ça, mais c’est une révolution quand tu le vis.
Cet article, c’est donc un mélange de vécu personnel et de pistes concrètes. Parce que je sais que je ne suis pas la seule à avoir porté un masque. Et que peut-être, toi aussi, tu te compares sans arrêt, tu doutes, tu n’oses pas, tu minimises tes qualités.
Alors si toi aussi tu t’es déjà senti·e “à côté de la plaque”, pas assez, trop différent·e, ou juste pas à ta place… tu es pile au bon endroit.
Quand la confiance en soi fait défaut
Vivre derrière un masque
Le manque de confiance en soi, ça ne se voit pas toujours. Parfois, ça se cache très bien. Et crois-moi, j’ai été une experte dans l’art de cacher.
À l’école, j’avais l’impression que pour exister, il fallait être extravertie, drôle, à l’aise. Sauf que moi, j’étais l’inverse. Introvertie, dans ma bulle, avec un monde intérieur riche mais que je ne montrais pas. Alors j’ai décidé de mettre un masque. J’ai joué le rôle de la fille sociable, bavarde, “populaire”. Et ça a marché… un temps.
Le problème, c’est que quand tu portes un masque, tu n’es jamais vraiment toi. Tu t’observes en permanence, tu surveilles chaque mot, chaque geste. Tu te demandes si les autres vont aimer la version de toi que tu montres. Et pendant ce temps-là, le vrai toi s’efface. Résultat : plus tu joues un rôle, moins tu as confiance en toi. Parce qu’au fond, tu sais très bien que tu triches et que la personne que les autres semblent apprécier n’est pas toi….
Et franchement, c’est épuisant. Mettre de l’énergie à “être quelqu’un d’autre” au lieu de vivre qui tu es vraiment… c’est comme courir un marathon avec des chaussures deux tailles trop petites. Ça tient un moment, mais ça finit par faire mal.
Le masque, je l’ai porté parce que je pensais que c’était la clé pour être acceptée. Mais la vérité, c’est qu’à force de vouloir être aimée pour une version de moi qui n’était pas authentique, je me suis perdue.
Confiance en soi ou l’effet miroir de la différence
Si tu rajoutes à ça le fait d’être la seule petite fille métisse de ma classe, tu comprends vite pourquoi ma confiance en moi était proche de moins l’infini.
Je me comparais sans cesse. À mes copines aux cheveux lisses. À celles qui avaient “le bon look” et moi, je regardais mes cheveux bouclés indomptables dans le miroir et je me disais : “Tu fais tâche, tes cheveux sont dégueulasses.”
C’est fou comme, enfant, on peut internaliser ces détails qui semblent insignifiants aux adultes. Mais pour moi, c’était énorme. Je me sentais différente. Pas dans le bon sens du terme. Et du coup, j’essayais de compenser ailleurs. En bossant dur à l’école en essayant d’avoir les meilleures notes. Et surtout, en me disant : “Si je ne peux pas être comme elles physiquement ou mentalement, je vais au moins prouver ma valeur autrement.”
Sauf que même ça, ça ne suffisait pas. Parce qu’en réalité, quand tu manques de confiance en toi, rien ne suffit. Tu peux avoir 18/20, tu peux avoir des compliments, tu peux avoir des amis. Si à l’intérieur de toi, tu penses que tu n’es pas “assez”, rien ne remplit ce vide.
Et là, on arrive au cœur du problème : la comparaison. La comparaison constante avec les autres, avec leurs réussites, leur physique, leur personnalité. C’est un poison lent. Et je l’ai bu longtemps.
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Cliquer ici pour y accéderPrendre conscience de soi pour consolider sa confiance en soi
Avoir confiance en soi, ce n’est pas juste “oser parler en public” ou “se tenir droit avec un sourire assuré”. La confiance en soi, la vraie, c’est beaucoup plus profond : c’est savoir qui tu es. Et ça, ça demande un vrai travail d’introspection. Parce que plus tu te connais, plus tu te fais confiance.
Identifier ses forces et ses faiblesses
Pendant longtemps, j’ai cru qu’avoir confiance, c’était être parfaite. Ne pas montrer mes défauts, cacher mes failles, être irréprochable. Grosse erreur.
En réalité, j’ai découvert que c’était l’inverse. Le jour où tu acceptes que tu n’es pas parfait·e, que tu as des limites et que c’est normal, tu respires.
Concrètement, ça veut dire quoi ? Ça veut dire faire la liste de tes forces (oui, tu en as, même si tu doutes) et de tes faiblesses. Pas pour t’auto-flageller, mais pour voir clair. Parce que quand tu connais ton terrain de jeu, tu sais mieux avancer.
Moi, j’ai compris que mes forces étaient ma détermination, ma capacité à trouver des idées, à écrire, à analyser. J’ai même appris à voir mes cheveux bouclés comme quelque chose de beau, alors que pendant longtemps je les ai détestés. Aujourd’hui je les surkiffe! Ma faiblesse ? Mon côté ultra perfectionniste, ma difficulté à faire confiance et à lâcher prise. Reconnaître ça, c’était déjà un pas énorme. Parce que tu arrêtes de te battre contre toi-même.
Accepter son histoire (même les parts d’ombre)
On a souvent envie de gommer les parties de notre vie dont on n’est pas fier·e. Sauf que, newsflash : ton histoire est entière. Tu ne peux pas effacer les pages qui te dérangent, mais tu peux te la réapproprier.
J’ai longtemps eu honte de certaines périodes : mes moments de doute, le harcèlement, la dépression, les phases de repli, mes maladresses. Mais avec le temps, j’ai compris que ça faisait partie de moi. Que mes failles me construisaient autant que mes réussites.
Se réapproprier son histoire, c’est arrêter de la raconter en mode “excuse” et commencer à la vivre en mode “force”. Oui, j’ai porté un masque, oui, je me suis comparée, oui, j’ai douté. Mais c’est aussi ça qui m’a permis de travailler sur moi et d’être là où je suis aujourd’hui.
Et tu sais quoi ? Quand tu acceptes ton histoire, les gens s’y connectent. Parce qu’on se reconnaît toujours plus dans les failles que dans les façades parfaites.
Apprivoiser ses peurs
Les peurs, elles ne disparaissent jamais vraiment. Mais tu peux apprendre à les apprivoiser. Et c’est là que la connaissance de soi devient une arme redoutable.
Moi, mes peurs, c’était surtout :
- La peur du rejet (qu’on me laisse de côté, qu’on ne m’accepte pas).
- La peur de mal faire (syndrome de l’élève parfaite).
- La peur d’échouer
- La peur d’être “trop” ou “pas assez” (trop différente, pas assez brillante).
Avant, je les cachais. Résultat : elles me contrôlaient. Maintenant, je les nomme. Parce que le simple fait de dire : “Ok, j’ai peur de ça”, ça te redonne du pouvoir.
Et puis, spoiler : quand tu affrontes tes peurs, tu te rends compte que la plupart sont des tigres de papier. Elles paraissent énormes dans ta tête, mais en vrai, elles s’effondrent quand tu avances un pas après l’autre.
Connaître ses propres limites
La société te répète souvent “repousse tes limites !”, “sors de ta zone de confort !”. Oui… mais pas tout le temps. Parce que connaître ses limites, c’est aussi une preuve de maturité.
Moi, j’ai longtemps cru que je devais être partout, pour tout le monde, tout le temps : émotionnellement et physiquement. Résultat : je me suis épuisée socialement. Jusqu’au jour où j’ai compris que dire “non” ne faisait pas de moi quelqu’un de faible, ou d’égoïste mais quelqu’un de lucide. J’ai besoin de ma bulle chaque jour pour être bien avec moi-même et avec les autres.
Connaître tes limites, c’est mettre un cadre. C’est savoir ce que tu peux donner sans te brûler. C’est choisir tes batailles au lieu de vouloir gagner toutes les guerres. Et paradoxalement, ça te rend plus confiant·e. Parce que tu sais où tu tiens, et où tu lâches.
Les étapes concrètes pour renforcer sa confiance en soi
Avoir confiance en soi, ce n’est pas juste une théorie que tu griffonnes dans un carnet de développement personnel. Ça se construit, tous les jours, avec des petits gestes concrets. Parce que la confiance, c’est comme un muscle : si tu ne l’entraînes pas, elle s’atrophie.
Affirmer ses opinions (même si elles ne plaisent pas)
Quand tu n’as pas confiance en toi, tu passes ton temps à dire “oui”. Oui à des choses qui te dérangent, oui à des idées avec lesquelles tu n’es pas d’accord. Oui pour éviter le conflit. Résultat : tu t’effaces.
Moi, ça a été mon plus gros défi : oser dire ce que je pensais vraiment. La première fois que je l’ai fait, c’était ridicule : un simple “non, je n’ai pas envie de sortir ce soir”. Et tu sais quoi ? Le monde ne s’est pas écroulé. Certaines personnes ont plus apprécié que d’autres, mais tu sais quoi : “on s’en fout”! Les gens qui t’apprécient te comprendront et te soutiendront toujours et moi, jai juste… respiré.
Oser affirmer tes opinions, c’est prendre ta place. C’est dire : “Je compte, ce que je pense compte.” Et plus tu le fais, plus tu renforces ton assurance.
S’accepter dans sa globalité
La confiance en soi, ce n’est pas s’aimer uniquement quand on est au top. C’est aussi se regarder en face quand on est en vrac, et se dire : “Ok, c’est moi quand même.”
S’accepter dans sa globalité, c’est arrêter le tri sélectif : garder ses qualités, jeter ses défauts. Ça ne marche pas comme ça. Tu es un tout. Et ce tout, il mérite d’être reconnu.
Moi, j’ai appris à arrêter de cacher mes “zones d’ombre”. Mon côté parfois trop sensible, ma tendance à sur-analyser. Avant, je les voyais comme des boulets. Maintenant, je les vois comme des pièces du puzzle. Parce qu’en vrai, elles nourrissent aussi mes forces.
Développer l’auto-bienveillance (le truc qu’on oublie toujours)
On est souvent notre pire critique. Je suis sûre que tu connais cette petite voix intérieure qui te répète : “T’es nulle”, “T’aurais pu mieux faire”, “Regarde les autres, ils gèrent mieux que toi”.
La confiance en soi se nourrit d’auto-bienveillance. Et ça, ce n’est pas juste un joli mot. C’est un entraînement quotidien.
Concrètement ? J’ai commencé un rituel tout bête : chaque semaine, je me regarde dnans le miroir en identifiant 3 à 5 choses que j’aime chez moi ou dont je suis fière. Ça peut être minuscule : avoir eu une discussion sincère, avoir pris du temps pour moi, avoir osé demander de l’aide. Mais petit à petit, ça change ton regard sur toi.
Noter et partager (l’effet miroir qui fait du bien)
On a souvent un problème : on ne voit pas nos qualités. Tu sais pourquoi ? Parce qu’on vit avec elles depuis toujours. On pense que c’est “normal”.
Un exercice qui m’a aidée : écrire mes peurs, mes faiblesses, mais aussi mes forces. Et ensuite… demander aux autres ce qu’ils voient en moi. Spoiler : tu seras surpris·e.
Quand j’ai fait ça, on m’a dit : “Tu es courageuse.” Moi ? Courageuse ? Je ne m’étais jamais vue comme ça. Mais en entendant ça, j’ai commencé à intégrer une nouvelle vision de moi. L’effet miroir, ça te donne une image que tu n’arrives pas à capter seul·e.
Confiance en soi : pourquoi se connaître est-il indispensable dans l’entrepreneuriat ?
Quand tu te lances dans l’entrepreneuriat, tu peux avoir le meilleur business plan du monde, le site le plus design de la planète et un logo qui brille plus qu’une boule à facettes… si tu n’as pas confiance en toi, ça finit par se voir. Toujours.
Parce que dans l’entrepreneuriat, tu es au centre du jeu. Tu es ton produit, ton service, ton image de marque. Et si tu doutes de toi, les autres le sentent.
Le masque finit toujours par tomber
Tu peux jouer les grandes gueules en réunion, poster des stories ultra inspirantes, ou enchaîner les “ça va super !” quand on te demande comment ça va. Mais la vérité, c’est que le manque de confiance ne se cache pas longtemps.
À un moment, il ressort. Dans ta façon de fixer tes prix (“euh… c’est 100€, mais si c’est trop je peux baisser”). Dans ta manière de pitcher (“alors, je fais un peu de tout, enfin je veux dire, j’aide les gens, mais pas forcément tout le monde…”). Ou dans ton rapport aux clients (“désolée de vous déranger…” alors que tu ne déranges personne).
👉 Et là, c’est simple : si toi tu n’as pas confiance en toi, personne ne l’aura à ta place.
Connaissance de soi = offre cohérente
Le problème, ce n’est pas juste “manquer d’assurance”. C’est que tant que tu ne sais pas qui tu es, ton business ne tient pas debout.
Quand Mireille (ma maman) s’est lancée en tant que thérapeute, elle a très vite compris ça. Au début, elle avait tendance à regarder ce que faisaient les autres et à vouloir copier : mêmes offres, mêmes mots, mêmes méthodes. Mais tu sais quoi ? Ça ne collait pas. Parce que ce n’était pas elle.
Ce que j’ai appris : tu ne peux pas vendre quelque chose qui ne te ressemble pas. Les gens sentent quand tu n’es pas aligné·e. Et à l’inverse, quand ton offre reflète ta personnalité, tes valeurs, ton énergie… là, ça attire naturellement.
Connaissance de soi, ça veut dire :
- savoir ce qui compte vraiment pour toi,
- savoir ce que tu ne veux pas faire,
- savoir comment tu veux accompagner, vendre, créer.
Et plus tu clarifies ça, plus ta confiance en toi grandit. Parce que tu sais pourquoi tu fais ce que tu fais.
La confiance en soi, carburant de l’action
En entrepreneuriat, il n’y a pas de prof pour valider tes choix, pas de patron pour te dire si c’est bon. Tu dois prendre les décisions seul·e, assumer tes erreurs, oser lancer tes idées. Et ça, ça demande une sacrée dose de confiance.
Pas la confiance “fake it till you make it” qu’on voit partout sur LinkedIn. Mais la confiance solide, ancrée dans ta connaissance de toi.
Parce que quand tu sais qui tu es, tu n’as plus besoin de tout surjouer. Tu n’as pas besoin de prétendre que tout va bien. Tu avances, même avec tes doutes et tu assumes tes choix. Et ça, ça change tout.
👉 Exemple concret : quand j’ai arrêté de vouloir être “la coach parfaite” et que j’ai commencé à dire aussi quand je galérais, ça a créé beaucoup plus de lien. Parce que, surprise, personne n’attend que tu sois un robot.
Le cercle vertueux confiance / connaissance / réussite
Voici la mécanique magique :
- Plus tu te connais, plus tu prends confiance.
- Plus tu prends confiance, plus tu oses tenter des choses.
- Plus tu oses, plus tu apprends (et donc tu te connais encore mieux).
- Et plus tu te connais, plus tu peux affiner ton business.
C’est un cercle vertueux qui nourrit ton projet. Alors que le manque de confiance, lui, crée un cercle vicieux : moins tu crois en toi, moins tu agis, moins tu avances, et plus tu doutes.
La bonne nouvelle ? Tu peux briser ce cercle vicieux en commençant petit : une décision assumée, une prise de parole sincère, une offre alignée avec toi. Pas besoin d’attendre d’être “parfait·e”.
Les clients achètent ta confiance (avant même ton produit)
C’est un truc qu’on oublie souvent : les gens n’achètent pas seulement un produit ou un service. Ils achètent une personne, une énergie, une conviction.
Tu peux avoir l’offre la plus complète du monde : si tu ne la portes pas avec confiance, ça ne vend pas. Et inversement, tu peux avoir une offre simple mais si tu es aligné·e et sûr·e de toi, les clients suivent.
Pourquoi ? Parce que la confiance est contagieuse. Quand tu crois en toi, tu donnes envie aux autres de croire en toi.
Prêt·e à passer à l’étape suivante ?
Réserve ton appel découverte !
- Tu réserves ton appel en ligne (Calendly), en répondant à quelques questions.
- Tu nous exposes ta situation, tes attentes ; on t’explique notre approche.
- On vérifie que le “match” est bon entre nous. (C’est important si on veut bien travailler ensemble !)
- Si tout est ok, on planifie la première séance.
Le mot de la fin sur la confiance en soi
Si je devais te laisser avec une seule idée, ce serait celle-ci : prendre conscience de soi, ce n’est pas un “bonus”. C’est la base. Parce que tant que tu ne sais pas qui tu es, comment pourrais-tu croire en toi ?
La confiance en soi, ça ne se commande pas, ça se construit. Pas en une fois, pas avec une formule magique, mais au fil des choix, des ratés, des révélations et de la connaissance de soi.
Longtemps, j’ai cru qu’il fallait être parfaite pour avoir confiance. Alors je me suis déguisée, j’ai joué des rôles, j’ai couru après une version de moi qui n’existait pas. Résultat ? J’étais fatiguée, pas plus confiante, et surtout pas plus heureuse.
Le jour où j’ai arrêté de me maquiller l’âme pour plaire, j’ai commencé à respirer. Et j’ai accepté que j’avais des cheveux bouclés, une introversion assumée, des forces parfois invisibles même pour moi. Aussi, j’ai commencé à accepter mes défauts, mes peurs, mes zones de panique. Et tu sais quoi ? C’est exactement ça qui a nourri ma confiance.
Dans l’entrepreneuriat, c’est pareil. Tu peux mentir un temps, tu peux copier les autres, tu peux faire semblant. Mais tôt ou tard, la façade se fissure. Et c’est à ce moment-là que tu réalises que ta plus grande force, c’est ton authenticité. Pas la version, mais celle qui dit : “Voilà qui je suis, voilà comment je travaille, et si ça résonne, tant mieux.”
Alors oui, la confiance reste un travail. Il y a des jours où elle se barre par la fenêtre et où tu la cherches sous le tapis. Mais plus tu te connais, plus elle revient vite. Parce qu’elle a une base solide : toi.
Et franchement ? Le meilleur investissement que tu puisses faire dans ta boîte, c’est toi. Juste un vrai face-à-face avec qui tu es. Ça, personne ne peut te le voler. Et ça, ça change tout.
Pour aller plus loin sur la confiance en soi
Si tu veux creuser un peu le sujet, voici une sélection de ressources (livres, talks, films, podcasts) qui résonnent avec le thème de la confiance en soi et de la connaissance de soi.
📖 La confiance en soi – Frédéric Fanget & Catherine Meyer (2024)
Une BD trop cool qui t’aide à arrêter de douter, à passer à l’action et à développer ton potentiel sans promesses magiques. Une lecture pratique pour poser des pas concrets.
📺 La confiance en soi | Charline Chauveau | TEDxUniversity of Nîmes (2024)
Charline parle du droit à l’erreur, du regard qu’on porte, et de sortir — doucement — de sa zone de confort. Une conférence accessible, pleine de sincérité et de petites piques bien placées.
🎤 Les 6 règles pour avoir confiance en soi | Sally | TEDxBrussels (2024)
Sally délivre des “règles” simples mais achevées pour renforcer sa confiance — surtout quand elle vacille. Un talk récent, frais, qui dépoussière le sujet.
🎤 La confiance en soi, un premier pas vers le contrôle | Frank Colin | TEDxGEM (2024)
Frank Colin explore la relation entre confiance, contrôle et liberté. Parfait pour ceux·celles qui pensent que “confier” = “perdre le contrôle”.
📚 Imparfaits, libres et heureux – Christophe André
Un classique francophone que tu as peut-être déjà croisé mais qui mérite d’être re-mentionné ici pour sa douceur et son réalisme. Il t’aide à accepter l’imperfection comme fondation de la confiance.
🎬 Le discours d’un roi (The King’s Speech, 2010)
Quand tu vois un roi qui bégaye… tu comprends que la confiance ne naît pas d’un micro magique. Le film raconte comment le roi George VI, obligé de parler au peuple, lutte contre ses peurs, son doute, et doit trouver sa voix : littéralement. Ce n’est pas juste une histoire royale : c’est une métaphore de la prise de parole, du courage quand tu penses ne pas en avoir.
📖 Le Vaillant Petit Tailleur — Conte des frères Grimm (1812)
Un conte vieux comme le monde où un homme modeste, armé de ruse et d’audace, défie des géants. Il n’est pas le plus fort, ni le mieux né. Mais il croit en lui ou il fait semblant jusqu’à ce que ça devienne vrai. Leçon : la confiance ne dépend pas toujours de la taille de ton talent, mais de ta capacité à miser sur ce que tu as.
🎤 Devenir pleinement soi-même — Laurent Gounelle (TEDx Marseille)
Gounelle ouvre une fenêtre sur cette lutte contre les “faux moi”. Il partage ses propres blessures, les moments où il a dû lâcher les masques, parler avec ses peurs, accepter ses défauts pour construire une version vraie de lui-même. C’est un talk doux, lucide, simple, mais qui frappe l’âme.
Réserve ta séance de Business Checkup
Pour un accompagnement entrepreneurial rapide et ciblé.
- Analyse de la situation et des problématiques actuelles
- Session de conseil personnalisé d’1H30
- Récapitulatif écrit des recommandations à entreprendre (1 à 3) par mail 48h après la séance (avec éventuellement des exercices à réaliser ou une fiche thématique pour t’éclairer sur un sujet particulier )